Les tranches d’impôt en Israël
En Israël c’est la méthode d’imposition progressive sur les revenus qui est adoptée. L’impôt en Israël sur le revenu est l’équivalent de l’IR Français. (impôt sur le revenu).
L’imposition progressive signifie que plus le revenu brut imposable d’un individu augmente, plus le montant de son imposition sera élevé.
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- Le revenu imposable (à savoir le revenu d’une personne après déductions, compensations et exemptions qui lui reviennent) est divisé en « tranches fiscale », et à chaque tranche fiscale correspond une imposition d’un montant différent. Ces tranches représentent les tranches d’imposition.
- L’idée qui se trouve à la base de la méthode des tranches d’imposition est que plus l’individu a un revenu élevé, plus le montant de l’imposition augmente, tout en conservant rigoureusement le fait que tant qu’un individu gagne plus en brut, il gagnera aussi plus en net.
- De plus, il y a une distinction entre le revenu généré par le travail personnel de l’individu et le revenu créé par une autre source qui n’est pas le travail personnel de l’individu. (par exemple : des revenus locatifs, des perceptions d’intérêts ou de dividendes). De ce fait les tranches d’imposition et leurs montants sont différents entre ces deux sortes de revenus :
- Revenus « actifs », provenant du travail direct du contribuable. Ceux sont en général les revenus provenant de salaires ou d’activité d’indépendant (Ossek mourche ou Ossek patour)
- Revenus « passifs », ne nécessitant pas d’implication directe de la part du contribuable.
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Les montants des tranches d’impôt en Israël sont mis à jour et changent d’année en année.
Lire aussi: Comprendre le système d’imposition en Israel.
Le système fiscal israélien se distingue par sa complexité et son fonctionnement basé sur le modèle anglo-saxon, une approche radicalement différente de celle adoptée par le système d’imposition français.
Alors que la France mise sur un système global avec une forte présence de l’impôt sur le revenu, Israël privilégie une approche plus individualisée et axée sur le concept de « taxe sur la valeur ajoutée » (TVA). Cette différence fondamentale se traduit par une série de particularités propres au système israélien, telles que :
Une TVA élevée : Israël applique un taux de TVA élevé, atteignant 17%, qui impacte directement le coût des produits et services.
Un système d’impôts sur le revenu progressif : La progressivité de l’impôt sur le revenu en Israël, bien que présente, est moins marquée que celle rencontrée en France.
Un focus sur l’imposition des entreprises : Le système fiscal israélien est particulièrement attentif à l’imposition des entreprises, avec des régimes spécifiques pour les PME et les startups.
Des exemptions et déductions fiscales variées : Israël met en place un éventail de déductions et exemptions fiscales pour encourager certains comportements ou activités spécifiques, comme l’investissement dans la recherche et développement.
Ces différences essentielles entre les deux systèmes fiscaux soulignent la nécessité d’une compréhension approfondie des spécificités du système israélien pour les entreprises et les particuliers évoluant dans ce contexte.
Augmentation de la taxe d’acquisition pour les investisseurs.
